Le fortin du bon sens III - Le paradoxe des ponts.
En vrai, je ne vais quasiment plus sur les blogs et les sites brandissant l'unschool en étendard. Sporadiquement, une ou deux fois dans un mois, parce qu'ils ne m'apportent rien dont je ne sois pas déjà convaincue. Perdre mon temps à me rengorger et à enfoncer les portes ouvertes de ma cervelle n'est pas nourrissant. Au contraire, je confronte chaque jour notre mode de vie à d'autres exemples plus structurés, plus classiques, plus formels. J'y gagne beaucoup, des réponses quand je remet en question mes choix (oui à force de s'interroger on trouve son chemin dans les méandres de sa propre pensée), des techniques supplémentaires qui serviront à La Mioche, ou pas. Chaque matin, ou presque, je vais magasiner un petit panier de matières à penser. On n'est pas obligé de faire comme ceux qu'on lit. On n'est même pas obligé d'être d'accord. On n'est même pas obligé de seulement s'en inspirer. Mais lire (ça, c'est presque maladif...