Quand la nature inspire les écrivains, critique suite et fin.

Dans ces jours les plus courts et ces nuits les plus longues, je reviens vers vous pour vous parler à nouveau de l'ouvrage Quand la nature inspire les écrivains, d'Élisabeth Combres, illustré par Titwane, aux éditions Plume de Carotte. 

Je viens de le terminer avec une seule envie, découvrir et redécouvrir ces écrivains dont la nature a influencé, impulsé, les mots.
Chaque extrait a été une (trop courte) plongée dans un même univers redécouvert encore et encore avec une sensibilité et un regard nouveaux et insondés.
Les aquarelles de Titwane répondent à la douce concision des biographies imprégnées du but de cet ouvrage, on n'est jamais perdu, on sait que d'un bout à l'autre, Élisabeth Combres nous présente ces personnes à l'aune de leur relation avec la Nature.  Elle a réussi à magnifier même les aspects les plus sombres, vulgaires et indécents de cette cinquantaine d'auteurs, dévoilant sans fard leur folie ou leur faille sans les empeser de pudibonderie futile.

Je viens de terminer ce tour du Monde littéraire, et m'en vais maintenant faire le tour des Bouquineries à la recherche de ces pépites qui ramènent l'homme à sa dimension naturelle, grand esprit dans petit corps.

Happy Winter Solstice !



Commentaires

  1. Oh la la ! Tu m'as drôlement donné envie de le lire !
    Dommage, il n'est pas à notre médiathèque :-(

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oui, je suis contente de l'avoir fini pour le prêter à mon bibliothécaire préféré, histoire de le convaincre de l'ajouter à son catalogue.

      Supprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Ostréiculture

La plaine, les vallons plus loin...

De la complexité du partage