La plaine, les vallons plus loin...
La plaine, les vallons plus loin, Les bois, les fleurs des champs, Les chemins, les villages, Les blés, les betteraves, Le chant du merle et du coucou, L'air chaud, les herbes, les tracteurs, Les ramiers sur un bois, Les perdrix, la luzerne, L'allée des arbres sur la route, La charrette immobile, L'horizon, tout cela Comme au creux de la main. Eugène Guillevic
...pour tous nos choix 😉
RépondreSupprimerMalgré ma jeunesse, je suis de la vieille école : quand quelque chose ne va pas dans la relation avec le groupe, je répare, j'arrange, je suis fidèle, j'annonce posément les problèmes sans affect. Je ne part pas en claquant la porte pendant trois jours.
SupprimerLà où tu te trompes, c'est que je ne suis pas partie pendant trois jours mais définitivement. tu as raison, tu es encore jeune, profites-en, après tu comprendras que juger n'est pas non plus une très grande qualité.Il y a des choses qui ne se réparent pas pas, on s'en sépare, parfois avec regret, parfois sans...Quant à l'affect, c'est un point de vue, il n'y a donc aucune objectivité à le balancer à la face des autres 😂. Mais c'est vrai, tu es bien jeune et je ne sais pas ce que tu peux connaitre de la vieille école 😉. Il te faudra encore apprendre que les phrases toutes faites ne veulent pas dire grand-chose...Je ferme la porte doucement douce Enid.
SupprimerXD les joies de l'écrit : la porte claque trois jours durant, ou claquer la porte pour une durée de trois jours. Je sais encore lire, et avait bien compris le sens du mot "départ". Il fallait donc interpréter mes propos selon la première solution.
SupprimerQuand la porte claque, c'est qu'elle est peut-être mal fermée... Pense à remonter cela aussi au labo, afin de discuter une nouvelle fois de moi, juste entre vous 😉Bonne soirée Enid...
SupprimerOuaip, p'têt que finalement, l'avantage de la jeunesse, c'est d'assumer ses propos jusqu'au bout.
SupprimerNe fais pas de leçon de morale pathétique, j'ai la larme à l'oeil lol. Douce Enid, jeune Enid, tu me fais rire. J'assume, tu assumes, nous assumons, il manque juste une mélodie mais c'est un bon refrain, c'est toi qui pousse la chansonnette ? ��
RépondreSupprimerFargo
Tu voulais quoi en écrivant "pour tous nos choix" ? Mon épaule pour pleurnicher ? Ma compréhension publiquement écrite ? T'as sonné à la mauvaise porte Fargo, je ne suis ni épaule, ni complaisance.
SupprimerTu viens me faire chier ici, tu attendais quoi ? Que je te passe la pommade ? Nan. T'abuses, j'te le dis. Tu t'entêtes, ah mais j'veux bien jouer le jeu, c'est pas écrire qui me dérange.
T'as besoin de quoi pour être fielleuse et ironique à ce point ? De soutien ? Demande-le casch, ça marchera mieux. De provoc' ? T'as la rage d'avoir Marine au second tour et t'en peux tellement plus que ça doit déborder sur d'autres pans de ta vie ? Ça se comprend.
Merci Enid pour cette très jolie photo. Un peu de poésie, ça fait du bien. Bises du poulailler.
RépondreSupprimerJ'avais commencé une série avec les Schtroumpfs, mais face au billet "Humanité", ils se sont rebellés, ont brandi leur pancarte "Schtroumpfitée", se sont mis en grève, et j'ai du me débrouiller autrement.
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